Subject: Did you know that 1 in 4 sexual assaults takes place at a mass gathering?
Date: Tue, 10 Mar 2015 15:02:40 -0400
From: Dawn Neilly <wellingtoncpc@gmail.com>
FOR IMMEDIATE RELEASE: Tuesday, March 10, 2015 2:00pm
(Ottawa)—The Ottawa Coalition to End Violence Against Women (OCTEVAW), Crime Prevention Ottawa (CPO), and the Ottawa Police Service want to inform the public about opportunities to help prevent sexual assaults this coming St. Patrick’s Day.
A fall 2014 study conducted by The Ottawa Hospital Sexual Assault and Partner Abuse Care Program (SAPACP), found that of 204 new cases of sexual assault reported to The Ottawa Hospital’s SAPACP in 2013, 25% of these occurred at festivals, parties and other group events, known as mass gatherings.
“The study revealed that the highest incidence of sexual assaults associated with group events where alcohol and drug consumption is common coincided with New Year’s Eve, Canada Day, University Frosh Week and Halloween celebrations,” stated Dr. Kari Sampsel, Medical Director of The Ottawa Hospital SAPACP. “It also found that 90% of victims consumed alcohol at mass gatherings – compared to 60% in other settings.”
Findings of the research also include:
- Approximately 63% of victims reported being unconscious during their assault in the mass gathering group, compared with 39% in the control group.
- Approximately 57% of victims suspected that they were drugged during their assault in the mass gathering group, compared with 39% in the control group.
- The assailant was known to the victim in only 33% of patients presenting after mass gatherings, compared with over 60% in the control group.
“With St. Patrick’s Day celebrations just around the corner, we want to encourage everyone in the community to play a role in preventing violence against women and to be aware of risk factors associated with consuming alcohol at mass gatherings,” said A/Supt Joan McKenna, Ottawa Police Service. “Many incidents go unreported and this is important to police and to the community.”
You can pledge to #MANifestChange in your community by ending violence against women – at http://www.manifestchange.ca/
Information on Crisis resources for women is available at http://www.octevaw-cocvff.ca/crisis-resources
About MANifest Change
I can MANifest change is a public awareness campaign. Its goal is to positively engage men and boys in ending violence against women.
Rather than viewing men and boys as perpetrators, I can MANifest change is about empowering them. We want men and boys to see themselves as agents of change who can help put a stop to violence against women through their own actions.
Since November 5 of 2014, over 175 Ottawa area men have expressed how they will act to address violence against women, from challenging sexist locker room talk to donating to women-led organizations to teaching their sons to treat women as equals.
It could be as simple as telling a friend not to tell sexist jokes, or rejecting media that condones gender-based violence.
We ask men to change the conversation and think of the girls and women important to them by calling out sexism and being positive male role models.
Saviez-vous qu’une agression sexuelle sur quatre a lieu lors d’un rassemblement de masse?
Ottawa — La Coalition d’Ottawa contre la violence faite aux femmes (COCVF), Prévention du crime Ottawa (CPO), et le Service de police d’Ottawa tiennent à informer le public des occasions qui s’offrent à lui pour aider à prévenir des agressions sexuelles en cette prochaine Saint-Patrick.
Une étude menée à l’automne 2014 par le Programme de soins aux victimes d’agression sexuelle ou d’abus par un partenaire de l’Hôpital d’Ottawa, a révélé que, sur 204 nouveaux cas d’agression sexuelle signalés au PSVASAP de l’Hôpital d’Ottawa en 2013, 25% d’entre eux avaient eu lieu lors de festivals, fêtes et autres activités de groupe, qu’on appelle rassemblements de masse.
« L’étude a révélé que la plus grande incidence d’agressions sexuelles associées à des activités de groupe où la consommation d’alcool et de drogue est commune coïncidait avec la veille du jour de l’An, la fête du Canada, la semaine d’orientation universitaire et les fêtes de l’Halloween, » a déclaré la Dre Kari Sampsel, directrice médicale du PSVASAP de l’Hôpital d’Ottawa. « L’étude a aussi révélé que 90% des victimes avaient consommé de l’alcool à des rassemblements de masse – contre 60% dans d’autres contextes. »
L’étude a en outre révélé que:
- Près de 63% des victimes ont déclaré avoir été sans connaissance lors de leur agression au sein du groupe de rassemblement de masse, contre 39% au sein du groupe témoin.
- Près de 57% des victimes soupçonnent qu’elles furent droguées lors de leur agression au sein du groupe de rassemblement de masse, contre 39% au sein du groupe témoin.
- L’agresseur était connu de la victime chez seulement 33% des patients se présentant à la suite de rassemblements de masse, contre plus de 60% au sein du groupe témoin.
« À l’approche des fêtes de la Saint-Patrick, nous tenons à encourager chaque membre de la collectivité à faire sa part pour prévenir la violence contre les femmes et à être conscient des facteurs de risque liés à la consommation d’alcool lors de rassemblements de masse,» dit la surintendante intérimaire JoanMcKenna, du Service de police d’Ottawa. « De nombreux incidents ne sont pas signalés, et ceci est important aux yeux de la police et de la communauté. »
Vous pouvez vous engager à #manifesterlechangement dans votre communauté pour mettre fin à la violence faite aux femmes – au http://www.manifestchange.ca/fr
Des renseignements sur les ressources pour les femmes en situation de crise sont disponibles au http://www.octevaw-cocvff.ca/fr/liste-de-ressources.
À propos de MANifester le changement
Je peux MANifester le changement est une campagne de sensibilisation du public. Son objectif est de mobiliser positivement les hommes et les garçons pour mettre fin à la violence faite aux femmes.
Plutôt que de percevoir les hommes et les garçons comme des auteurs de gestes violents, Je peux MANifester le changement par leurs propres moyens. Nous voulons que les hommes et les garçons se voient comme des agents du changement et des témoins autonomisés qui peuvent, grâce à leurs propres gestes favorables, aider à mettre un terme à la violence faite aux femmes.
Depuis le 5 novembre 2014, plus de 175 hommes de la région d’Ottawa se sont exprimés sur la manière dont ils vont agir face à la violence à l’endroit des femmes, allant de contester les fanfaronnades de vestiaire sexistes à contribuer financement à des organismes dirigés par des femmes, à enseigner à leur fils de traiter les femmes d’égal à égal. Ce peut être aussi simple que de dire à un ami de ne pas raconter de blagues sexistes, ou de rejeter les médias qui prônent la violence fondée sur le genre.